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Claude Simon, une expérience de la complexité (2020)
vendredi 29 mai 2020, par
Claude Simon, une expérience de la complexité.
Sous la direction de Marie-Albane Watine, Ilias Yocaris et David Zemmour.
Paris : Classiques Garnier, 2020. 421 p. (Rencontres ; 455. Série Rhétorique, stylistique, sémiotique ; 7)
Cet ouvrage, à paraître en août 2020, regroupe les actes du colloque organisé à Nice en 2016.
Présentation de l’éditeur
Cet ouvrage tente de confronter l’oeuvre de Claude Simon à la notion de complexité, que celle-ci s’appréhende au niveau de la perception du monde, de la composition des textes simoniens ou encore de leur réception.
Table des matières
– Marie-Albane Watine, Ilias Yocaris et David Zemmour. « Introduction ». p. 7
– Jean-Yves Laurichesse. « La complexité des points de vue dans la représentation de l’empire colonial chez Claude Simon. p. 23-34
– Nathalie Piégay. « Écrire les larmes. Esquisse pour une approche des émotions ». p. 35-49
– Sophie Guermès. « De la complexité référentielle à la complexité sémantique. L’exemple du Vent ». p. 51-62
– Wolfram Nitsch. « Les « bifurs » du roman. Réseau textuel et réseau ferroviaire dans La Bataille de Pharsale ». p. 63-75
– Emelyn Lih. « Un cauchemar dont j’essaie de m’éveiller ». Complexités joyciennes dans Histoire. p. 77-90
– Vincent Berne. « Interrompre la conversation. Claude Simon aux prises
avec la critique néo-wittgensteinienne de la modernité littéraire ». p. 91-110
– Mathilde Vallespir. « Complexité perceptive chez Claude Simon.
Instabilité référentielle et multistabilité dans La Chevelure de Bérénice ». p. 111-131
– Pascal Mougin. « Claude Simon et la métalepse. Considérations
rétrospectives sur Triptyque ». p. 133-152
– Anne-Lise Blanc. « Le simple : un contrepoint de la complexité
chez Claude Simon ». p. 153-168
– Ilias Yocaris. « « Ces phrases bourrées de sous-entendus ».
Complexité sémantique et discours implicite dans Histoire ». p. 169-190
– Christelle Reggiani. Simplicité du Tramway. p. 191-205
– Michel Bertrand. « Gulliver, de l’illusion de la facilité comme
épreuve de la difficulté ». p. 207-220
– Cécile Yapaudjian-Labat. Survivances de la tragédie dans L’Acacia.
Lire Claude Simon avec Aby Warburg. p. 221-233
– Marc Bonhomme. « Les dissonances tonales dans Le Tramway de Claude Simon ». p. 235-247
– David Zemmour.« De William Faulkner à Claude Simon. Bruit et fureur sur La Route des Flandres ». p. 249-270
– Sjef Houppermans. « Complexité et psychanalyse. Une lecture stratifiée du Tramway ». p. 271-281
– Alastair B. Duncan. « Approches psychanalytiques de l’oeuvre
de Simon ». p. 283-293
– Claire Badiou-Monferran. « Complexité syntaxique. Les deux régimes,
classique et moderne, du diasystème simonien ». p. 295-307
– Sandrine Vaudrey-Luigi. « Complexité et belle langue dans L’Herbe
de Claude Simon ». p. 309-321
– Sophie Milcent-Lawson. « Théories d’adjectifs chez Claude Simon. La série polyadjectivale comme stylisation verbale de l’expérience
de la complexité ». p. 323-339
– Julien Piat. « Les binômes d’adjectifs coordonnés antéposés au nom.
Un élément de complexité stylistique dans la prose de Claude Simon ». p. 341-352
– Yona Hanhart-Marmor. « La phrase-temps. Syntaxe et temporalité
dans Le Tramway de Claude Simon ». p. 353-364
– Marie-Albane Watine. « La phrase de Simon est-elle complexe
? Une approche psycho-linguistique ». p. 365-381
– sur le site des éditions Classiques Garnier
– Ian De Toffoli. Compte-rendu dans les Cahiers Claude Simon, 16, 2021, p. 240-244
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